solidarité avec les familles des otages

Le ruban jaune est devenu un symbole fort pour exprimer le soutien et l'espoir de la libération des otages, en particulier dans le contexte des otages du Hamas. Il est porté par des personnes désireuses de manifester leur solidarité avec les familles des otages et leur souhait de voir ces derniers revenir sains et saufs.

L’attaque surprise du Hamas a laissé une marque indélébile dans de nombreuses familles israéliennes. Des civils innocents ont été kidnappés et pris en otages, entraînant leurs proches dans des souffrances insupportables. Face à ce drame, la société israélienne s'est massivement mobilisée, faisant preuve d'une solidarité sans faille pour la libération de ces personnes.

Un don de 10% des bénéfices pour le soutien des familles des otages.

Pour participer activement au soutien des familles d'otages. Sterna shop offre 10% des benefices sur l'achat d'un ruban jaune ou d'un collier Bring Them Home Now.

Les images de familles dévastées, de mères, de pères, de frères et de sœurs attendant des nouvelles de leurs proches, ont touché le cœur de tous. Cette mobilisation n'est pas seulement un acte de soutien, mais un cri de ralliement pour la justice et la libération des otages.

Il est essentiel que les gouvernements du monde entier répondent à cet appel. La libération des otages doit devenir une priorité internationale. Les dirigeants doivent unir leurs forces pour exercer une pression diplomatique et économique sur les détenteurs de ces innocents. Chaque jour qui passe est un jour de trop pour les familles qui attendent désespérément le retour de leurs proches.

En portant un ruban jaune, symbole de solidarité et d'espoir, nous pouvons montrer notre soutien aux victimes et à leurs familles. Ce geste simple mais puissant rappelle à tous que nous ne les oublions pas et que nous sommes unis dans ce combat pour leur libération.

La solidarité n'a pas de frontières. Ensemble, nous pouvons faire un changement. Encourageons nos gouvernements à agir maintenant pour ramener ces otages chez eux, là où ils appartiennent.